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m, dans la nouvelle formule ci - au - dessous, est un nombre quelconque < e pair, dans les puissances d'un exposant pair, où il peut même être o, & impair dans celles d'un exposant impair. Autant que m aura de valeurs, autant le problème aura de solutions; & m aura autant de valeurs que > (pour les puissances de la premiere classe), ou > (pour celles de la seconde), expriment d'unités. [omission: formula; to see, consult fac-similé version]. > On pourroit même absolument supprimer la formule de n, dont la valeur se produit toûjours dans la formule de p, où elle est le second sacteur du premier terme.
13. Plus simplement encore & sans l'attirail d'aucune formule, partagez e en deux parties à volonté,
14. Si les deux parties dans lesquelles e se trouve partagé sont le moins inégales qu'il se puisse; ou (ce qui revient au même) si faisant usage de la formule, on y donne à m la plus petite valeur qu'elle puisse avoir; ensorte qu'elle soit o pour les puissances d'un exposant pair, & 1 pour celles d'un exposant impair: on verra naître les formules des numéros 8 & 9.
15. Reprenant les exemples que nous avons donnés sous ces deux articles, pour former la quatrieme puissance de 5.
16. Si l'on vouloit une démonstration, on peut
s'en procurer une fort simple. Pour cela, qu'on
prenne dans celle qu'on voudra des formules l'expression
de p & de n pour le premier terme & pour
le nombre des termes d'une progression arithmétique
dont la différence soit 2, & qu'on se donne la
peine d'en faire la somme; on trouvera pour dernier
résultat r
17. Ce qu'on connoissoit jusqu'à - présent de cette
propriété de la suite des impairs ne pouvoit être
d'un grand secours, & ne dispensoit pas de recourir
à la pratique usitée pour former les puissances même
d'un exposant pair, toutes les fois que > exprimoit
un nombre impair. Ayant à former par exemple la
dixieme puissance de 7, il falloit préalablement trouver
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De plus, on ne soupçonnoit pas que la progression subalterne, dont la somme est la puissance d'un exposant pair cherchée, se trouvât ailleurs qu'à l'origine de la suite principale. On tenoit, il est vrai, une solution de cette partie la plus exposée en vûe
18. Nommant s le nombre des termes qui précedent p dans la suite générale des impairs, & qu'il faut sauter vers l'origine pour monter jusqu'à lui; on aura (par la nature des progressions) 25 + 1 = p: & substituant cette valeur dans [omission: formula; to see, consult fac-similé version], on trouvera la somme de la progression ou [omission: formula; to see, consult fac-similé version]. Mais on a aussi, comme il est évident, [omission: formula; to see, consult fac-similé version]; & d'ailleurs (n°. 12.) [omission: formula; to see, consult fac-similé version]: donc [omission: formula; to see, consult fac-similé version]. C'est - à - dire que
IMPALANCA (Page 8:583)
IMPALANCA, (Hist. nat.) animal quadrupede, qui a la forme & la taille d'un mulet, mais dont la peau est tachetée & de différentes couleurs. Il a le front armé de deux cornes pointues & recourbées en raison de son âge. Sa chair est très bonne à manger, excepté dans le tems du rut. On estime sur - tout le bézoard, ou la pierre qu'on en retire, qui est regardée comme un excellent antidote contre toutes sortes de poisons. Cet animal se trouve dans plusieurs parties de l'Afrique, & sut - tout dans le royaume de Congo.
IMPALPABLE (Page 8:583)
IMPALPABLE, adj. (Physiq.) est ce dont on ne peut distinguer les petites parties par les sens, & particulierement par celui du toucher.
IMPANATEURS (Page 8:583)
IMPANATEURS, s. f. (Théologie.) nom donné aux Luthériens, qui rejettant le dogme de la transubstantlation, soutenoient que dans le sacrement de l'eucharistie, après les paroles de la consécration,
IMPANATION (Page 8:583)
IMPANATION, s f. (Théol.) est un terme dont
les Théologiens se servent pour expliquer l'opinion
des Luthériens, qui étoit qu'après la consécration,
le corps de notre Seigneur Jesus - Christ demeure dans
l'eucharistie avec la substance du pain & du vin.
Voyez
IMPANGAZZA (Page 8:583)
IMPANGAZZA, s. m. (Hist. nat. Zoolog.) ani<pb-> [p. 584]
IMPARDONNABLE (Page 8:584)
* IMPARDONNABLE, adj. (Gramm.) une action
est impardonnable, c'est - à - dire qu'il n'y a point
de pardon pour elle. Voyez
IMPARFAIT (Page 8:584)
* IMPARFAIT, adj. (Gramm.) à qui il manque
quelque chose. Ainsi un ouvrage est imparfait, ou
lorsqu'on y remarque quelque défaut, ou lorsque
l'auteur ne l'a pas conduit à sa fin. Un livre est imparfait s'il y manque un feuillet. Un grand bâtiment
demeure imparfait lorsqu'un ministre est déplacé, &
que celui qui lui succede a la petitesse d'abandonner
ses projets. Il y a dans la Musique des accords imparfaits. Voyez
Imparfait (Page 8:584)
IMPARTABLE (Page 8:584)
IMPARTABLE, adj. (Jurisprud.) signifie ce qui
ne peut pas se partager; on le dit aussi quelquefois
de ce qui ne peut pas se partager commodément.
Voyez
IMPARTIAL (Page 8:584)
* IMPARTIAL, adj. (Gramm.) on dit d'un juge qu'il est impartial lorsqu'il pese sans acception des choses ou des personnes, les raisons pour & contre. Un examen impartial, lorsqu'il est fait par un juge impartial. Il n'y a guere de qualité plus essentielle & plus rare que l'impartialité. Qui est - ce qui l'a? le voyageur? il a été trop loin pour regarder les choses d'un oeil non prevenu: le juge? il a ses idées particulieres, ses formes, ses connoissances, ses préjugés: l'historien? il est d'un pays, d'une secte, &c. Parcourez ainsi les différens états de la vie, songez à toutes les idées dont nous sommes préoccupés, faites entrer en considération l'âge, l'état, le caractere, les passions, la santé, la maladie, les usages, les goûts, les saisons, les climats, en un mot la foule des causes tant physiques que morales, tant innées qu'acquises, tant libres que nécessaires, qui influent sur nos jugemens; & prononcez après cela si l'homme qui se croit sincérement très - impartial, l'est en effet beaucoup. Il ne faut pas confondre un juge ignorant avec un juge partial. L'ignorant n'a pas les connoissances nécessaires pour bien juger; le partial s'y refuse.
IMPASSIBLE, IMPASSIBILITÉ (Page 8:584)
* IMPASSIBLE, IMPASSIBILITÉ, (Gramm. & Théolog.) qui ne peut éprouver de douleurs. C'est un des attributs de la Divinité. C'en fut un du corps de Jesus Christ après la résurrection. C'en est un de son corps dans l'eucharistie. Les esprits & les corps glorieux seront impassibles. Si l'ame est fortement préoccupée de quelque grande passion, elle en devient pour ainsi dire impassible. Une mere qui verroit son enfant en danger, courroit à son secours les piés nuds à - travers des charbons ardens, sans en ressentir de douleur. L'enthousiasme & le fanatisme peuvent élever l'ame au - dessus des plus affreux tourmens. Voyez dans le livre de la cité de Dieu, l'histoire du prêtre de Calame. Cet homme s'aliénoit à son gré, & se rendoit impassible même par l'action du feu.
IMPASTATION (Page 8:584)
IMPASTATION, s. f. (Pharmacie.) c'est la réduction d'une poudre, ou de quelqu'autre substance en forme de pâte, au moyen de quelque liquide convenable pour en faire des trochisques, des tablettes, ou autre composition de forme solide.
Impastation (Page 8:584)
L'impastation est quelquefois un ouvrage de maçonnerie, fait de stuc ou de pierre broyée, rejointe en maniere & forme de parement, tels que les marbre - feuils.
Quelques - uns croient que les obélisques & ces grosses colonnes antiques qui nous restent, étoient faites les unes par impastation & les autres par fusion. Dict. de Trévoux.
IMPATIENCE (Page 8:584)
IMPATIENCE, s. f. (Morale.) inquiétude de celui qui souffre, ou qui attend avec agitation l'accomplissement de ses voeux.
Ce mouvement de l'ame plus ou moins bouillant, procede d'un tempérament vif, facile à s'enflammer, & qu'on auroit pû souvent modérer par les secours d'une bonne éducation.
Les princes qui croient tout pouvoir, & qui se livrent
à leurs impatiences, imitent ces enfans qui rompent
les branches des arbres, pour en cueillir le fruit
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