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Fers de Varlope, de demi - Varlope, Varlope a onglet (Page 6:505)
Fer (Page 6:505)
Fer (Page 6:505)
Fer a friser (Page 6:505)
Fer a toupet (Page 6:505)
Fer rond a souder (Page 6:505)
Fer pointu, quarré, à souder; il a la forme pyramidale.
Fer rond, pointu, à souder, des Vitriers; il a la forme
de la po nte d'un oeuf, sa queue est plus longue
qu'au fer du Plombier; il est terminé par un crochet.
Pour faire ces sortes de fers, le forgeron prend une
barre de fer, comme on voit dans nos
Fer a polir (Page 6:505)
Quand le livre est glairé sur la couverture, & que le blanc d'oeuf est sec, on se sert du fer à polir chaud, qu'on passe legerement une sois ou deux sur tout le livre, pour lui donner du lustre.
Fers a dorer (Page 6:505)
Fers (Page 6:505)
Fer de Velours a cannelure (Page 6:505)
Fer de Velours erisé (Page 6:505)
Fer de Peluche (Page 6:505)
FERABATH (Page 6:505)
FERABATH, (Géogr.) ville agréable de Perse, dans les montagnes qui bornent la Mer Caspienné au midi, dans le Mésenderan, à cinq lieues de la mer: le grand Chah - Abas y passoit souvent l'hyver. Long. 76. 12. lat. 39. 46. (C. D. J.)
FERALES (Page 6:505)
FERALES, (Hist. anc.) nom d'une fête que les anciens
Romains célébroient le 12 Février à l'honneur
des morts. Voyez
Varron dérive ce mot de inferi ou de fero, parce qu'on portoit un repas au sépulcre de ceux auxquels on rendoit ce jour - là les derniers devoirs. Festus le dérive de fero, par la même raison, ou de ferio, parce qu'on immoloit des victimes. Vossius observe que les Romains appelloient la mort fera, cruelle, & que delà peut venir feralia. Dictionn. étymol.
Macrobe, Saturn. l. I. c. xiij. en rapporte l'origine à Numa Pompilius. Ovide, dans ses Fastes, remonte jusqu'à Enée pour en trouver l'origine, & les décrit. Il dit encore qu'en ce jour on faisoit aussi un sacrifice à la déesse Muta, ou muette, & que c'étoit une vieille femme accompagnée de jeunes filles, qui faisoit ce sacrifice. Dictionn. de Trév. & Chambers.
Cette fête ayant été long - tems négligée à Rome depuis sa premiere institution, à cause des guerres continuelles, Ovide raconte au second livre des Fastes, que cette ville fut desolée par la peste, & qu'on jugea que ce fléau étoit un effet de la vengeance des dieux Manes. Les esprits étant aussi malades que les corps, on vit, dir - on, les ombres des morts sortir de leurs tombeaux, se promener dans les campagnes & dans les rues de la ville avec des hurlemens affreux. On ne trouva point d'autre remede à cette desolation, que de rétablir les cérémonies négligées, feralia: la peste cessa, & les Manes appaisés retournerent dans leurs tombeaux; il falloit bien que cela arrivât. (G)
FERBLANTIER (Page 6:505)
FERBLANTIER, s. m. ouvrier qui travaille à divers ouvrages de fer - blanc, comme plats, assiettes, lampes, lanternes, &c.
La véritable qualité des Ferblantiers est Taillandiers, Ouvriers en fer - blanc & noir; ils sont de la communauté
des Tailland ers. Voyez
Les Ferblantiers & les Vitriers n'ont besoin que de fers à souder, mais plus petits que ceux des Plombiers. Les uns & les autres se servent de poix résine pour mieux faire prendre la soudure. Lorsqu'on veut au contraire qu'elle ne prenne pas dans de certains endroits, on les salit avec la main ou de la craie.
FERDEN ou VERDEN (Page 6:505)
FERDEN ou VERDEN, (Géog.) ville du cercle de la basse Saxe en Allemagne, capitale de la province du même nom, autrefois épiscopale & impériale, mais à - présent sujette à l'électeur d'Hannovre, auquel les Danois la cederent, après l'avoir prise en 1712. Elle est sur l'Aller proche le W éser, à 10 lieues S. E. de Breme, 20 S. de Hambourg, 22 S. O. de Lunebourg, 20 N. O. d'Hannovre. Long. 26. 58. lat. 53. 3. (C.D.J.) [p. 506]
FERDINANDINE (Page 6:506)
FERDINANDINE, (Géog.) petite ville de la côte
occidentale de l'île de Luçon, près de l'embouchure
de la riviere de Bigan: Gemelli Careri fixe l'époque
de sa fondation en 1574. Elle est par les 138
FERE (Page 6:506)
FERE, (
Le mot de Fere est originairement Franc, & signifie l'habitation de plusieurs personnes d'un même pays; de - là vient que le nom de Fere, tiré de Fara, est resté dans beaucoup de noms de villes & bourgs.
FERENTAIRES ou FERENDAIRES (Page 6:506)
FERENTAIRES ou FERENDAIRES, (Hist. anc.) étoient chez les Romains des troupes auxiliaires armées à la legere: leurs armes étoient l'épée, les fleches, la fronde, qui sont des armes plus legeres & moins embarrassantes que le bouclier, la hache, la pique, &c.
Le nom de Ferentaires vient de ce que ces soldats étoient troupes auxiliaires, à ferendo auxilio, quoique Varron prétende que ce nom leur fut donné parce que la fronde & les pierres se portent, & ne s'empoignent pas; feruntur, non tenentur.
Il y avoit une autre espece de Ferentaires, dont l'emploi étoit de porter des armes à la suite des armées, afin d'en fournir aux soldats dans les combats.
Quelques auteurs nomment Ferentaires, des cavaliers armés de pié - en - cap, armés pesamment, cataphracti équites. Dictionn. de Trév. & Chamb. (G)
FERENTINO (Page 6:506)
FERENTINO, (Géog.) ou FIORENTINO, comme disent les Italiens, Ferentium, petite ville d'Italie & de l'état de l'Eglise, dans la campagne de Rome, avec un évêché qui ne releve que du pape: elle est sur une montagne à 3 li. N. E. d'Anagny, 15 S. E. de Rome. Long. 30. 52. lat. 41. 43.
FERIN, INE (Page 6:506)
FERIN, INE, adject. (Medecine.) C'est un terme employé par les anciens, pour désigner des maladies ou des causes de maladie d'une nature très - mauvaise, qui portent un caractere de malignité, qui supposent une altération très - considérable & très - pernicieuse dans la masse des humeurs.
C'est dans ce sens qu'Hippocrate fait usage de ce
terme dans ses épidémies, lib. VI. il appelle férins, les
vers, la toux, qui sont produits par une cause de
corruption extraordinaire. Le délire est aussi férin,
selon cet auteur dans ses prorhétiques, dans ses coaques, lorsqu'il est accompagné de symptomes de malignité.
Voyez
Erotion avertit que quelques auteurs appellent férins,
theriomata, des ulceres de mauvaise qualité,
même ceux des poumons, qui forment l'espece de
phthisie, qu'ils nomment aussi férine. Voyez
FERETRE (Page 6:506)
* FERETRE, s. m. (Hist. anc.) nom commun qui
renfermoit sous son acception le lectique & la sandapile,
deux especes différentes de brancards ou de lits
dont on se servoit pour porter les corps morts au lieu
de leur sépulture. Ils désignent aussi les brancards sur
lesquels des hommes qui accompagnoient les triomphateurs,
portoient par ostentation & pour ajoûter
à l'éclat de la pompe, des vases d'or & d'argent, des
rechauds ardens, des ornemens somptueux, les images
des rois, &c. On lit: feretra dicebantur ea quibus
fercula & spolia in triumphis & pompis ferebantur. On
a quelquefois étendu l'acception de ce mot à toute
pompe en général; & l'on a dit
FERETRIUS (Page 6:506)
* FERETRIUS, (Myth.) Jupiter fut ainsi appellé du verbe fero, je porte. Jupiter - Feretrius est la même chose que Jupiter - porte - paix: quod pacem ferre putaretur, ex cujus templo sumebant sceptrum, per quod jurarent, & lapidem silicem, quo foedus ferirent. La premiere loi de Numa Pompilius ordonnoit des sacrifices à Jupiter - Feretrius après une victoire: quojus auspicio, classe procinctâ, opima spolia capiuntur, Jovi - Feretrio bovem coedito. Martinius.
FÉRIES (Page 6:506)
FÉRIES, (Hist. anc.) c'étoient chez les Romains
des jours pendant lesquels on s'abstenoit de travailler.
Voyez
Le mot ferioe est ordinairement dérivé d'à ferendis
victimis, parce que l'on tuoit des victimes ce jourlà.
Martinius dit que les féries, ferioe, sont ainsi appellées,
velut
Ces jours - là étoient principalement marqués par
le repos; au lieu que les jours de fêtes étoient célébrés
par des sacrifices ou des jeux, aussi - bien que par
la cessation du travail. Il y a cependant des auteurs
qui confondent les jours de fêtes avec les féries, ferioe. Voyez
D'autres confondent les féries, ferioe, avec les
jours de vacation, dies nefasti. Voyez
Le mot de férie revient au mot de sabbat, dont les
Israélites se servoient. Voyez
Les Romains avoient plusieurs especes de féries.
Voici leurs noms, au moins des principales: oestivales, ou féries d'été; anniversarioe, les féries anniversaires;
compitalitioe, les compitalices, ou fêtes & féries des rues, ou des carrefours; conceptivoe, les féries votives que les magistrats promettoient chaque
année; denicales, pour l'expiation des familles polluées
par un mort; imperativoe ou indictivoe, celles
que le magistrat ordonnoit; latinoe, les féries latines
instituées par Tarquin le Superbe pour tous les peuples,
voyez
Férie se disoit aussi chez les Romains pour un jour
de foire, parce qu'on tenoit les foires les jours de
férie ou jours de fêtes. Struv. Synt. antiq. rom. chap.
jx. pag. 425, 443, &c. Voyez
Férie (Page 6:506)
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