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La peau de cet animal forme une partie du commerce que les Anglois font avec les sauvages voisins de la Virginie; elle compose une sorte de fourrure fort estimée en Angleterre.
L'aroure Egyptien étoit le quarré de cent coudées, selon le calcul du docteur Arbuthnot, tab. 9. (G)
Les Romains ne faisoient ni funérailles ni épitaphes aux harpages; on ne brûloit point leur corps; on ne leur érigeoit ni tombeaux ni monumens; ce qui fait qu'on trouve dans Juvenal:
terra clauditur infans,
Et minor igne rogi.
Dans la suite on introduisit la coûtume de brûler les
corps des enfans qui avoient vêcu 40 jours, & à qui
il avoit poussé des dents: on appelloit aussi ceux - là
Il y a des instrumens sur lesquels on ne peut former un accord plein qu'en arpégeant; tels sont le violon, le violoncelle, la viole, & tous ceux dont on joue avec l'archet; car l'archet ne peut appuyer sur toutes les cordes à la fois. Pour former donc des accords sur ces instrumens, on est contraint d'arpéger; & comme on ne peut tirer qu'autant de sons qu'il y a de cordes, l'arpege du violon & du violoncelle ne fauroit être composé de plus de quatre sons. Il faut pour arpéger, que les doigts soient arrangés en même tems chacun sur sa corde, & que l'arpege se tire d'un seul & grand coup d'archet, qui commence sur la plus grosse corde & vienne finir en tournant sur la chanterelle. Si les doigts ne s'arrangeoient sur les cordes que successivement, ou qu'on donnât plusieurs coups d'archets, ce ne seroit plus un arpege, ce seroit passer très - vîte plusieurs notes de suite.
Ce qu'on fait sur le violon par nécessité, on le
pratique par goût sur le clavecin. Comme on ne peut
tirer de cet instrument que des sons secs qui ne tiennent
pas, on est obligé de les refrapper sur des notes
de longue durée. Pour faire donc durer un accord
plus long tems, on le frappe en arpégeant, en commençant
par les sons bas, & en observant que les
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