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la chôse, la prép. de. "À~ la première alarme de ce siège, le Duc de Glocester assembla quelques troupes à la hâte. Elle lui donne en cet endroit le sens de nouvelle. — Et le sens et le régime sont inusités.
ALLARMER
ALLARMER. Voy. ALARMER.
ALLE
ALLE, pénult. brève, malle,
salle, etc.
ALLèCHEMENT
ALLèCHEMENT, s. m. ALLÉCHER,
v. a. [On ne pron. qu'une l: on ne devrait en écrire qu'
une. Alècheman, Aléché, 2eè
moy. au 1er, é fer. au 2d.; 3e. e
muet au 1er., é fer. au 2d.; 4e lon.
au 1er., en a le son d'an.] Attrait. — Attirer.
— Ils ont paru vieux pendant long-temps; on travaille aujourd'hui à
les rajeunir.
Maître renard par l'odeur
alléché. La
Font.
"Alléché par le produit d'une première
Édition, il en fit une seconde, puis une troisième, puis
une quatrième. Anon. "Alléché par cet
apas, il est venu à Paris mendier des sufrages. Linguet.
L'Acad. ne blâmait pas Allèchement:
elle disait seulement qu'il se prend toujours en mauvaise part. "La volupté
a de grands allèchemens. Dans la dern. Édit. elle
n'en borne pas l'usage, et cite le même exemple à-peu-près:
les allèchemens de la volupté. Mais elle dit qu'il
vieillit. Pour Allécher, elle le met sans remarque.
ALLÉE
ALLÉE ou ALÉE,
s. f. [On ne prononce qu'une l, 2e é fer.
et long, alé-e.] 1°. Passage entre deux murs dans une
maison. = 2°. Deux rangées d'arbres, qui forment un promenoir.
= 3°. Les allées et les venûes, les démarches
qu'on fait pour une affaire.
ALLÉGATION
ALLÉGATION ou ALÉGATION,
s. f. Action d'Alléguer V. ALLÉGUER.
ALLèGE
ALLèGE, s. f. [L'Acad. met l'accent
aigu, mais l'è est moy. Alège.] Petit bâteau,
qui va à la suite d'un grand, pour le décharger de ce qu'
il a de trop.
ALLÉGEANCE
*ALLÉGEANCE, s. f. adoucissement. Il est
vieux.
Porte à ses déplaisirs cette
foible allégeance.
Corneille.
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ALLèGEMENT
ALLèGEMENT, ou ALèGEMENT,
s. m. ALLÉGER ou ALÉGER,
v. a. [2e è moy. au 1er, é
fer. au 2d; 3e e muet au 1er, é
fer au 2d.] Le verbe s'est toujours dit au propre dans le sens de décharger
d'une partie d'un fardeau; alléger un portefaix, un
bâteau, un plancher, etc. Mais au figuré, dès
le commencement du siècle, ces deux mots ne se disaient plus guère
en prose, au dire de La Touche:
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