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Babylone (Page 2:5)
Bac (Page 2:5)
Bac (Page 2:5)
Il y a aux environs de Paris plusieurs bacs, dans les endroits éloignés des ponts.
Bac (Page 2:5)
Bac a jet trempe (Page 2:5)
Bac a la décharge (Page 2:5)
Bac a formes (Page 2:5)
Bac a chaux (Page 2:5)
Bac a sucre (Page 2:5)
Bac à terre (Page 2:5)
BACA (Page 2:5)
* BACA, (Géog. sainte.) ville de la tribu d'Aser, au pié du mont Liban.
BACA, ou BAZA (Page 2:5)
* BACA, ou BAZA, (Géog.) ville d'Espagne, au royaume de Grenade. Long. 15. 34. lat. 37. 18.
BAÇAIM (Page 2:5)
* BAÇAIM, (Géog.) ville d'Asie, avec port, au royaume de Visapour, sur la côte de Malabar. Long. 90. 40. lat. 19.
BACALA (Page 2:5)
* BACALA, (Géog.) ville de la presqu'île de Jucatan, dans l'Amérique septentrionale, près du golfe d'Honduras, entre Valladolid & Salamanque.
BACALAOS (Page 2:5)
* BACALAOS, (Géog.) terre de l'Amérique méridionale, dont on ne nous dit rien de plus.
BACAR (Page 2:5)
* BACAR, (Géog. anc. & mod.) nom d'une vallée située dans la partie septentrionale du mont Liban, que les Latins appelloient Iturea Thraconitis.
BACAR, ou BAXAR (Page 2:5)
* BACAR, ou BAXAR, (Géog.) contrée du Mogol, sur le Gange. Becaner en est la capitale.
BACA - SERAY, ou BACHA - SERAI (Page 2:5)
* BACA - SERAY, ou BACHA - SERAI, (Géog.) ville de la presqu'île de Crimée, dans la petite Tartarie. Long. 52. 30. lat. 45. 30.
BACAY (Page 2:5)
* BACAY, (Géog.) ville de l'Inde, delà le Gange,
BACCALAURÉAT (Page 2:5)
BACCALAURÉAT, s. m. le premier des degrés
qu'on acquiert dans les facultés de Théologie, de
Droit, & de Médecine. Voyez
BACCARAT (Page 2:5)
BACCARAT, (Géog.) ville de France, en Lorraine, sur la Meurte, entre Nanci & Estival.
BACCARACH (Page 2:5)
BACCARACH, (Géog.) ville d'Allemagne, dans le bas Palatinat, sur le Rhin. Long. 25. 15. lat. 49. 57.
BACH (Page 2:5)
BACH, (Géog.) ville de la basse Hongrie, au comté de Toln, sur le Danube.
BACCHANALES (Page 2:5)
BACCHANALES, adj. pris subst. (Hist. anc.) fêtes
religieuses en l'honneur de Bacchus, qu'on célébroit
avec beaucoup de solennité chez les Athéniens, où
l'on en distinguoit de diverses sortes; d'anciennes,
de nouvelles, de grandes, de petites, de printanieres,
d'automnales, de nocturnes, &c. Avant les olympiades,
les Athéniens marquoient le nombre des années
par celui des bacchanales, autrement nommées
orgies, du mot Grec
A Athenes l'Archonte régloit la forme & l'ordonnance
des bacchanales, qui dans les premiers tems se
passoient fort simplement: mais peu à peu on les
accompagna de cérémonies ou ridicules ou infames.
Les prêtresses ou bacchantes couroient de nuit, à
demi - nues, couvertes seulement de peaux de tigres
ou de pantheres passées en écharpe, avec une ceinture
de pampre ou de lierre; les unes échevelées &
tenant en main des flambeaux allumés, les autres
portant des thyrses ou bâtons entourés de lierre &
de feuilles de vigne, criant & poussant des hurlemens
affreux. Elles prononçoient sur - tout ces mots,
BACCHANTES (Page 2:5)
BACCHANTES, prêtresses de Bacchus, nom que l'on donna d'abord à des femmes guerrieres qui suivirent Bacchus à la conquête des Indes, portant des thyrses ou bâtons entortillés de pampres de lierre & de raisins, & faisant des acclamations pour publier les victoires de ce conquérant. Après l'apothéose de ce prince, elles célébrerent en son honneur les bacchanales. De - là les mysteres de Bacchus furent principalement confiés aux femmes; & dans les anciennes bacchanales de l'Attique, ces prêtresses étoient au nombre de quatorze. Il est pourtant fait mention dans l'antiquité d'un grand - prêtre de Bacchus, si respecté de tout le peuple, qu'on lui donnoit la premiere place dans les spectacles. Platon bannit de sa république la danse des bacchantes, & leur cortege composé de nymphes, d'égipans, de silenes, & de satyres, qui tous ensemble imitoient les ivrognes, & presque toûjours d'après nature, sous prétexte d'accomplir certaines expiations ou purifications religieuses. Ce philosophe pense que ce genre de danse n'étant convenable ni à la guerre, ni à la paix; & ne pouvant servir qu'à la corruption des moeurs, il doit être exclus d'un état bien policé. Tacite racontant les débauches de Messaline & de ses femmes, en fait [p. 6]
BACCHE (Page 2:6)
BACCHE, s. m. dans la Poësie Greque & Latine, espece de pié composé de trois syllabes; la premiere breve, & les deux autres longues, comme dans ces mots, >g>st>s, >v>r>.
Le bacche a pris son nom de ce qu'il entroit souvent
dans les hymnes composées à l'honneur de Bacchus. Les Romains le nommoient encore oenotrius,
tripodius, saltans, & les Grees
BACCHIONITES (Page 2:6)
* BACCHIONITES, s. m. pl. (Hist. anc.) c'étoient, à ce qu'on dit, des philosophes qui avoient un mépris si universel pour les choses de ce bas monde, qu'ils ne se reservoient qu'un vaisseau pour boire; encore ajoûte - t - on qu'un d'entre eux ayant apperçu dans les champs un berger qui puisoit dans un ruisseau de l'eau avec le creux de sa main, il jetta loin de lui sa tasse, comme un meuble incommode & superflu. C'est ce qu'on raconte aussi de Diogene. S'il y a jamais eu des hommes aussi desintéressés, il faut avoüer que leur métaphysique & leur morale mériteroient bien d'être un peu plus connues. Après avoir banni d'entre eux les distinctions funestes du tien & du mien, il leur restoit peu de chose à faire pour n'avoir plus aucun sujet de querelles, & se rendre aussi heureux qu'il est permis à l'homme de l'être.
BACCHUS (Page 2:6)
* BACCHUS, (Myth.) dieu du Paganisme. On
distingue particulierement deux Bacchus: celui d'Egypte, fils d'Ammon, & le même qu'Osiris; celui
de Thebes, fils de Jupiter & de Semelé, auquel on a
fait honneur de toutes les actions des autres. L'Egyptien fut nourri à Nisa, ville de l'Arabie heureuse,
& ce fut lui qui fit la conquêre des Indes. Orphée
apporta son culte dans la Grece, & attribua par adulation
les merveilles qu'il en racontoit à un Prince
de la famille de Cadmus. Voyez
Le Thébain acheva dans la cuisse de son pere le
reste du tems de la grossesse de sa mere, qui mourut
sur son septieme mois. Euripide dans ses Bacchantes,
dit que Jupiter déposa cet enfant dans un nuage pour
le dé - ober à la jalousie de sa femme; & Eustathe,
qu'il fut nourri sur le mont Meros, qui signifie cuisse,
equivoque qui aura vraissemblablement donné lieu
à la premiere fable. Bacchus alla à la conquête des
Indes à la tête d'une troupe de femmes & d'hommes
armés de thyrses & de tambours. Les peuples effrayés
de la multitude & du bruit, le reçûrent comme un
dieu; & pourquoi se seroient - ils défendus contre lui?
il n'alloit point les charger de chaînes, mais leur apprendre
la culture de la vigne. On dit qu'il fit des
prodiges dans l'affaire des Géans. On le représente
sous la figure d'un jeune homme, sans barbe, joufflu,
couronné de lierre ou de pampre, le thyrse dans une
main, & des grappes de raisin ou une coupe dans
l'autre. On lui immoloit le bouc & la pie; le bouc
qui mange les bourgeons, la pie que le vin fait parler.
La panthere lui étoit consacrée, parce qu'il se
couvroit de sa peau. Voyez
BACHA, PASCHA, ou PACHA (Page 2:6)
BACHA, PASCHA, ou PACHA, subst. m. (Hist. mod.) officier en Turquie. C'est le gouverneur d'une province, d'une ville, ou d'un autre département;
Dans les bachas sont compris les beglerbegs, &
quelquefois les sangiacbegs, quoiqu'ils en soient quelquefois
distingués, & que le nom de bacha se donne
proprement à ceux du second ordre, c'est - à - dire à ceux
devant qui l'on porte deux ou trois queues de cheval,
qui sont les enseignes des Tures; d'où vient le
titre de bacha à trois queues. Ceux - ci sont appellés beglerbegs, & les sangiacbegs ne font porter devant eux
qu'une queue de cheval attachée au bout d'une lance.
Voyez
Le titre de bacha se donne aussi par politesse aux courtisans qui environnent le grand - seigneur à Constantinople, aux officiers qui servent à l'armée, & pour ainsi dire, à tous ceux qui font quelque figure à la cour ou dans l'état.
Le grand - seigneur confie aux bachas la conduite des armées; & pour lors on leur donne quelquefois le titre de seraskier ou de back - bog, c'est - à - dire général, parce qu'ils ont sous leurs ordres d'autres bachas. Comme on ne parvient communément au titre de bacha que par des intrigues, par la faveur du grandvisir ou des sultanes, qu'on achette par des présens considérables, il n'est point d'exactions que ces officiers ne commettent dans leurs gouvernemens, soit pour rembourser aux Juifs les sommes qu'ils en ont empruntées, soit pour amasser des trésors dont souvent ils ne joüissent pas long - tems, & qu'ils ne transmettent point à leur famille. Sur un léger mécontentement, un soupçon, ou pour s'approprier leurs biens, le grand - seigneur leur envoye demander leur tête, & leur uniqué réponse est d'accepter la mort. Leur titre n'étant pas plus héréditaire que leurs richesses, les enfans d'un bacha traînent quelquefois leur vie dans l'indigence & dans l'obscurité. On croit que ce nom de pascha vient du Persan pait schats, qui signifie pié de roi, comme pour marquer que le grand - seigneur a le pié dans les provinces où ses bachas le représentent. Cependant ce titre n'est en usage qu'en Turquie; car en Perse on nommé émirs ou kams les grands seigneurs & les gouverneurs de province. (G)
BACHARA (Page 2:6)
* BACHARA, (Géog.) ville de la grande Tartarie en Asie, dans l'Usbech, sur une riviere qui va se jetter dans la mer Caspienne.
BACHE ou BACHOT (Page 2:6)
BACHE ou BACHOT, s. m. ce sont de petits bateaux dont on se sert sur les rivieres; on nomme ainsi ceux dont on se sert à Lyon pour passer la Saone. (Z)
Bache (Page 2:6)
Bache (Page 2:6)
BACHELIER (Page 2:6)
BACHELIER, s. m. (Hist. mod.) dans les écrivains du moyen âge, étoit un titre qui se donnoit,
ou à ceux d'entre les chevaliers qui n'avoient pas assez
de bien ou assez de vassaux pour faire porter
devant eux leurs bannieres à une bataille, ou à ceux
même de l'ordre des Bannerets, qui, n'ayant pas encore
l'âge qu'il falloit pour déployer leur propre banniere,
étoient obligés de marcher à la guerre sous la
banniere d'un autre; voyez Next page
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