Dictionnaires d'autrefois
Dictionnaires des 17ème, 18ème, 19ème et 20ème siècles

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Il y a 11 entrées dans Nicot, Thresor de la langue française (1606) (Go), Dictionnaire de L'Académie française, 1st Edition (1694) (Go), Dictionnaire de L'Académie française, 4th Edition (1762) (Go), Jean-François Féraud: Dictionaire critique de la langue française (Marseille, Mossy 1787-1788) (Go), Dictionnaire de L'Académie française, 5th Edition (1798) (Go), Dictionnaire de L'Académie française, 6th Edition (1832-5) (Go), Dictionnaire de L'Académie française, 8th Edition (1932-5) (Go)

Nicot, Thresor de la langue française (1606)

obligation (Page 437)
Obligation, f. acut. Obligatio, Tabulae.

Obligation de comparoir en justice, Vadimonium.

Une solennité d'obligation, ou alienation où il failloit entre autres choses cinq tesmoins, Nexus, siue Nexum.

Avoir quelque obligation envers autruy sous serment presté, dont on n'est point encores acquitté, Teneri iureiurando.

Personne ne payera pour luy, et n'y aura nulle obligation, Pro eo nemo soluet, neque debebitur.

Obligation passée sous seel authentique, Nomen fide publica subnixum, B.

Obligation passée sous seel Royal et authentique, Nomen signo Regio insignitum, Nomen publicae vel Regiae authoritatis, B.

Prisonniers par obligation, Prisonniers pour debte, Custodiae ob nexum impactae in carcerem, B.

Prendre de quelqu'un obligation de corps et de biens, Capite et fortunis sibi ab aliquo cauere, aut satis accipere, Bud.

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Dictionnaire de L'Académie française, 1st Edition (1694)

Obligation (Page 648)
Obligation. s. f. Acte public par lequel on s'oblige pardevant Notaire de payer certaine somme. Une obligation de dix mille francs. la nouvelle Ordonnance deffend l'obligation par corps. obligation solidaire &c. il m'en a passé obligation pardevant Notaire. il m'a fait une obligation de telle somme. la minute ou le brevet d'une obligation. la grosse d'une obligation. grossoyer une obligation. sceller une obligation. une obligation n'est pas executoire si elle n'est scellée. cette obligation est payable dans tel temps. il a de l'argent à prester, mais il ne le veut donner que par obligation. je vous paye tant sur ce que je vous dois, il faut endosser l'obligation de cette somme. rendre une obligation. acquiter une obligation.

Il signifie encore, L'engagement qui vient de quelque plaisir, de quelque bon office qu'on a receu. Une grande, une extreme obligation. estroite, singuliere obligation. particuliere obligation. nouvelle obligation. avoir obligation à quelqu'un. je luy ay, je ne luy ay point d'obligation. je suis son serviteur par inclination & par obligation. je vous en auray obligation, mille obligations. il vous a obligation de la vie, de l'honneur &c.

Il se dit aussi des Differents devoirs qui regardent ou la Religion, ou les moeurs, ou la vie civile. Obligation indispensable. il n'y a pas obligation de faire telle chose. l'Eglise peut dispenser de cette obligation. satisfaire aux obligations d'un bon citoyen, d'un chrestien. il y a obligation d'honneur. obligation de civilité. obligation de conscience. satisfaire à ses obligations.

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Dictionnaire de L'Académie française, 4th Edition (1762)

OBLIGATION (Page 231)
OBLIGATION se dit aussi de l'acte public par lequel on s'oblige pardevant Notaire de payer une certaine somme dans un certain temps. Une obligation de dix mille francs. Par la nouvelle Ordonnance, il n'y a plus d'obligation par corps. Il lui en a passé obligation pardevant Notaire. Il lui en a fait une obligation. La minute d'une obligation. La grosse d'une obligation. Sceller une obligation. Une obligation n'est pas exécutoire si elle n'est scellée. Cette obligation est payable dans tel temps. Il a de l'argent à prêter, mais il ne le veut prêter que par obligation. Je vous paye tant sur ce que je vous dois, il faut endosser l'obligation de cette somme. Rendre une obligation. Acquiter une obligation.

OBLIGATION. s.f. (Page 231)
OBLIGATION. s.f. L'engagement où l'on est par rapport à différens devoirs, qui regardent la Religion ou les moeurs, ou la vie civile. S'acquitter des obligations d'un bon Citoyen, d'un bon Chrétien. Satisfaire aux obligations de son état. Satisfaire à toutes ses obligations. Les obligations d'un père envers ses enfans. Les obligations des enfans envers leur père. C'est une obligation de droit naturel. Une obligation de droit divin. Il n'y a pas d'obligation de conscience, mais il y a une espèce d'obligation d'honneur. L'Église peut dispenser des obligations qu'elle impose. Fête d'obligation.

Il se dit aussi De l'engagement qui naît des services, des bons offices, des plaisirs qu'on a reçus de quelqu'un. Il vous a obligation de la vie. Il prétend ne vous avoir aucune obligation. C'est une nouvelle obligation que je vous ai. Je lui en aurai de grandes obligations. Je lui en aurai obligation toute ma vie. Je lui en ai autant d'obligation que si la chose avoit réussi.

OBLIGATION se dit aussi de l'acte public par lequel on s'oblige pardevant Notaire de payer une certaine somme dans un certain temps. Une obligation de dix mille francs. Par la nouvelle Ordonnance, il n'y a plus d'obligation par corps. Il lui en a passé obligation pardevant Notaire. Il lui en a fait une obligation. La minute d'une obligation. La grosse d'une obligation. Sceller une obligation. Une obligation n'est pas exécutoire si elle n'est scellée. Cette obligation est payable dans tel temps. Il a de l'argent à prêter, mais il ne le veut prêter que par obligation. Je vous paye tant sur ce que je vous dois, il faut endosser l'obligation de cette somme. Rendre une obligation. Acquiter une obligation.

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Jean-François Féraud: Dictionaire critique de la langue française (Marseille, Mossy 1787-1788)

OBLIGATION (Page C003a)

OBLIGATION, s. f. OBLIGER, v. act. [Obliga-cion, obligé.] Obligation, est 1°. l'engagement qu'impôse le devoir. "Satisfaire aux obligations de son état. "Remplir ses obligations. = 2°. Celui qui fait naitre la reconnaissance. "Il vous a obligation de la vie. "Après tout ce que j'ai fait pour lui, il prétend ne m' avoir aucune obligation. = 3°. Acte public, par lequel on s'oblige de payer une certaine somme dans un tel tems. "Faire une obligation de mille écus, etc.
   Rem. Quand il signifie devoir, il n'a de pluriel que quand il est employé sans régime. "Aprenez vos obligations. Avec le régime de la prép. de et de l'infinitif, il ne s'emploie qu'au singulier. "Je ressens comme je dois, dit Voiture, les solides obligations que j' ai d'être, etc. On dirait aujourd'hui, la solide obligation. Aûtrefois on aimait beaucoup les pluriels. = * Être dans l'obligation de faire est une façon de parler qui ne vaut rien, dit La Touche: on doit dire, être obligé de faire. M. Marin pense qu'elle est reçue, et très-en usage. = D'Avrigny dit, avoir obligation à, sans article. "La République (de Venise) céda aux prières d'Alexandre VII, à qui elle avoit obligation, pour les secours qu'il lui avoit donnés contre les Turcs. Je douterais de la bonté de cette expression. On dit, lorsque obligation s'emploie sans régime, avoir de grandes obligations. Quand il régit la prépos. de, on dit avoir obligation sans article. "Il vous a obligation de la vie. "Je vous en aurai obligation. "Selon M. Marin, on dit, avoir obligation sans article, même quand obligation est sans régime.
   OBLIGER, c'est 1°. Engager par un acte. "Son contrat l'oblige à cela: Il s'est obligé pardevant Notaire, solidairement, par corps, etc. Il a obligé tous ses biens. = 2°. Imposer obligation. "Votre devoir vous oblige à cela. Obliger à restitution, à restituer. = 3°. Rendre service. "Il oblige de bone grâce. Vous m'obligerez infiniment. "Je vous serai extrêmement obligé. "Il n'est point de vertus qui soient étrangères à un galant homme; mais parmi les vertus, il y en a qui lui conviennent particulièrement. De ce nombre est le penchant à obliger. Marin, l'Homme Aimable. = 4°. Obliger un aprenti, l' engager chez un maître.
   REM. Obliger a deux régimes des verbes, de et à. "La nécessité nous oblige à bien faire. "Les Princes sont obligés de révérer la Religion. L'un et l'aûtre est bon, et il faut consulter l'oreille pour le choix. Avec le passif, de est le meilleur: avec le pronom personel, à est préférable: "Il est obligé de le faire: il s'oblige à le faire. — Mais quel que soit le régime qu'on préfère, il faut s'y tenir: les employer tous deux dans la même phrâse, ne fait pas un bon éfet. "Il les assure qu'il ne faut pas craindre que ce second mariage l'oblige à maltraiter sa première femme, ou même de se retirer de sa compagnie. Bossuet. Il falait, de maltraiter et de se retirer; ou bien, à maltraiter et à se retirer. "Ils avoient obligé les Médecins à ne s'atacher qu'à une espèce de maladie, et d'en faire l'unique objet de leur étude. Orig. des Lois. Il falait, à en faire, etc. ou, comme à en forme une cacophonie et un hiatus désagréable, il valait mieux dire: ils avaient obligé les Médecins de ne s'attacher, etc. et d'en faire, etc. = Se sentir obligé, se dit avec la seule préposition de pour régime de la chôse. "Je me sens infiniment obligé de vos bontés: être obligé régit le datif pour 2d régime de la persone, ou de ce qui en tient lieu. "Il ne fut obligé de son salut qu'à la fuite. "Je vous suis obligé de vos soins.

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Dictionnaire de L'Académie française, 5th Edition (1798)

OBLIGATION (Page 174)
OBLIGATION. s. f. L'engagement où l'on est par rapport à différens devoirs, qui regardent la Religion ou les moeurs, ou la vie civile. S'acquitter des obligations d'un bon Citoyen, d'un bon Chrétien. Satisfaire aux obligations de son état. Satisfaire à toutes ses obligations. Remplir ses obligations. Les obligations d'un père envers ses enfans. Les obligations des enfans envers leur père. C'est une obligation de droit naturel. Une obligation de droit divin. Il n'y a pas d'obligation de conscience, mais il y a une espèce d'obligation d'honneur. L'Église peut dispenser des obligations qu'elle impose. Fête d'obligation. Précepte d'obligation. Cela est d'obligation stricte.

Il se dit aussi De l'engagement qui naît des services, des bons offices, des plaisirs qu'on a reçus de quelqu'un. Il vous a obligation de la vie. Il prétend ne vous avoir aucune obligation. C'est une nouvelle obligation que je vous ai. Je lui en aurai une grande obligation. Je lui en aurai obligation toute ma vie. Je lui en ai autant d'obligation que si la chose avoit réussi. C'est un homme à qui j'ai les plus grandes obligations.

Obligation, se dit aussi De l'acte public par lequel on s'oblige pardevant Notaire de payer une certaine somme dans un temps fixé. Une obligation de dix mille francs. Par la nouvelle Ordonnance, il n'y a plus d'obligation par corps. Il lui en a passé obligation pardevant Notaire. Il lui en a fait une obligation. La minute d'une obligation. La grosse d'une obligation. Sceller une obligation. Une obligation n'est pas exécutoire si elle n'est scellée. Cette obligation est payable dans tel temps. Prêter de l'argent par obligation. Endosser une obligation d'un à-compte qu'on a reçu. Rendre une obligation. Acquitter uneobligation.

On dit, Faire honneur à ses obligations, pour dire, Payer ses dettes, acquitter es promesses.

Obligation (Page 175)
Obligation, se dit aussi De l'acte public par lequel on s'oblige pardevant Notaire de payer une certaine somme dans un temps fixé. Une obligation de dix mille francs. Par la nouvelle Ordonnance, il n'y a plus d'obligation par corps. Il lui en a passé obligation pardevant Notaire. Il lui en a fait une obligation. La minute d'une obligation. La grosse d'une obligation. Sceller une obligation. Une obligation n'est pas exécutoire si elle n'est scellée. Cette obligation est payable dans tel temps. Prêter de l'argent par obligation. Endosser une obligation d'un à-compte qu'on a reçu. Rendre une obligation. Acquitter uneobligation.

On dit, Faire honneur à ses obligations, pour dire, Payer ses dettes, acquitter es promesses.

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Dictionnaire de L'Académie française, 6th Edition (1832-5)

OBLIGATION (Page 2:284)
OBLIGATION se dit encore de L'acte, fait par-devant notaire ou sous seing privé, par lequel on s'oblige à payer une certaine somme, à donner ou à faire telle chose dans un temps fixé. Une obligation de dix mille francs. Obligation par corps. Il lui en a passé obligation devant notaire. Il lui en a fait une obligation. La minute, la grosse d'une obligation. Sceller une obligation. Une obligation n'est pas exécutoire si elle n'est scellée. Cette obligation est payable dans tel temps. Prêter de l'argent par obligation. Endosser une obligation d'un à-compte qu'on a reçu. Rendre, acquitter une obligation.

Faire honneur à ses obligations, Payer ses dettes, acquitter ses engagements.

OBLIGATION (Page 2:284)
OBLIGATION signifie aussi, Un lien de reconnaissance envers les personnes qui nous ont rendu des services plus ou moins importants, ou qui nous ont fait quelque plaisir. Il vous a obligation de la vie. Il prétend ne vous avoir aucune obligation. C'est une nouvelle obligation que je vous ai. Je lui en aurai une grande obligation. Je lui en aurai obligation toute ma vie. Je lui en ai autant d'obligation que si la chose avait réussi. C'est un homme à qui j'ai les plus grandes obligations, à qui j'ai bien des obligations, à qui j'ai obligation.

Il s'emploie quelquefois dans des occasions de peu d'importance. Prêtez-moi ce livre pour une huitaine de jours; je vous en aurai une grande obligation. Il m'a cédé son billet de spectacle; je lui ai bien de l'obligation.

OBLIGATION. s. f. (Page 2:284)
OBLIGATION. s. f. Lien, engagement qui impose quelque devoir concernant la religion, la morale, ou la vie civile. S'acquitter des obligations d'un bon citoyen, d'un bon chrétien. Satisfaire aux obligations de son état, à toutes ses obligations. Remplir ses obligations. Les obligations d'un père envers ses enfants, des enfants envers leur père. C'est une obligation de droit naturel. Obligation de conscience. Obligation d'honneur. Fête, précepte d'obligation. Cela est d'obligation stricte. Vous êtes dans l'obligation de lui répondre.

Il se dit, en Jurisprudence, d'Un lien de droit, qui oblige à donner, à faire, ou à ne pas faire une chose. Ce professeur explique le titre du code intitulé: Des contrats ou des obligations. Les obligations naissent des conventions ou contrats, ou des quasi-contrats, des délits, ou des quasi-délits. Obligation solidaire. Les obligations du vendeur, de l'acheteur. Obligation exécutée, non exécutée, conditionnelle, divisible, indivisible. Obligation éteinte, prescrite.

OBLIGATION se dit encore de L'acte, fait par-devant notaire ou sous seing privé, par lequel on s'oblige à payer une certaine somme, à donner ou à faire telle chose dans un temps fixé. Une obligation de dix mille francs. Obligation par corps. Il lui en a passé obligation devant notaire. Il lui en a fait une obligation. La minute, la grosse d'une obligation. Sceller une obligation. Une obligation n'est pas exécutoire si elle n'est scellée. Cette obligation est payable dans tel temps. Prêter de l'argent par obligation. Endosser une obligation d'un à-compte qu'on a reçu. Rendre, acquitter une obligation.

Faire honneur à ses obligations, Payer ses dettes, acquitter ses engagements.

OBLIGATION signifie aussi, Un lien de reconnaissance envers les personnes qui nous ont rendu des services plus ou moins importants, ou qui nous ont fait quelque plaisir. Il vous a obligation de la vie. Il prétend ne vous avoir aucune obligation. C'est une nouvelle obligation que je vous ai. Je lui en aurai une grande obligation. Je lui en aurai obligation toute ma vie. Je lui en ai autant d'obligation que si la chose avait réussi. C'est un homme à qui j'ai les plus grandes obligations, à qui j'ai bien des obligations, à qui j'ai obligation.

Il s'emploie quelquefois dans des occasions de peu d'importance. Prêtez-moi ce livre pour une huitaine de jours; je vous en aurai une grande obligation. Il m'a cédé son billet de spectacle; je lui ai bien de l'obligation.

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Dictionnaire de L'Académie française, 8th Edition (1932-5)

OBLIGATION. (Page 2:245)
OBLIGATION. n. f. Lien moral qui impose quelque devoir concernant la religion, la morale ou la vie civile. S'acquitter des obligations d'un bon citoyen, d'un bon chrétien. Satisfaire aux obligations de son état, à toutes ses obligations. Remplir ses obligations. Les obligations d'un père envers ses enfants, des enfants envers leur père. Obligation de conscience. Obligation d'honneur. Fête d'obligation. Cela est d'obligation stricte. Vous êtes dans l'obligation de lui répondre.

Obligation morale, Celle qui n'est imposée ni par la religion, ni par une décision légale, ni par une convention sociale, mais qui résulte du sentiment moral que l'homme porte en soi.

OBLIGATION se dit, en termes de Droit, d'un Lien de droit qui oblige à donner, à faire ou à ne pas faire une chose. Ce professeur explique le titre du code intitulé : Des contrats ou des obligations. Les obligations naissent des conventions ou contrats, ou des quasi-contrats, des délits ou des quasi-délits. Obligation solidaire. Les obligations du vendeur, de l'acheteur. Obligation exécutée, non exécutée, conditionnelle, divisible, indivisible. Obligation éteinte, prescrite.

Il se dit encore de l'Acte, fait par-devant notaire ou sous seing privé, par lequel on s'oblige à payer une certaine somme, à donner ou à faire telle chose dans un temps fixé. Une obligation de dix mille francs. Signer une obligation. Il lui en a passé obligation devant notaire. La minute, la grosse d'une obligation.

Faire honneur à ses obligations, Payer ses dettes, acquitter ses engagements.

OBLIGATION se dit, par extension, de Certains titres productifs d'intérêt et remboursables dans un temps limité, que le gouvernement, des compagnies, des villes émettent pour se procurer de l'argent. Une obligation du Crédit Foncier. Obligations de la Ville de Paris. Obligations du Chemin de fer du Nord. Obligations nominatives, au porteur. Rembourser une obligation.

Il désigne figurément un Lien de reconnaissance envers les personnes qui nous ont rendu des services plus ou moins importants. Il vous a obligation de la vie. Il prétend ne vous avoir aucune obligation. Contracter une obligation envers quelqu'un. Je lui en ai autant d'obligation que si la chose avait réussi. C'est un homme à qui j'ai bien des obligations.


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