Il y a 8 entrées dans Nicot, Thresor de la langue française (1606) (Go), Dictionnaire de L'Académie française, 1st Edition (1694) (Go), Dictionnaire de L'Académie française, 4th Edition (1762) (Go), Jean-François Féraud: Dictionaire critique de la langue française (Marseille, Mossy 1787-1788) (Go), Dictionnaire de L'Académie française, 5th Edition (1798) (Go), Dictionnaire de L'Académie française, 6th Edition (1832-5) (Go)

Une Fonde, Funda.

Qui use de fonde à ce combattre, Funditor, Fundibularius.

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Fondé, [fond]ée. participe. Il a les significations de son verbe.

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FONDÉ, ÉE, participe .

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*FONDE, c'est ainsi qu'on écrivait aûtrefois, et cette manière d'écrire était plus conforme à l'étymologie, funda.
   Cet homme incomparable,
   À~ lancer de la fonde un plomb inévitable.
       Brebeuf.
On ne dit plus que fronde.

FONDÉ, ÉE, adj. et participe du v. Fonder. Au Palais on lui fait régir la prép. de: fondé de procuration. — Il est aussi subst. "Un fondé de pouvoirs. Moreau. "Le fondé des pouvoirs du Pape. Id.

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Fondé, ée. participe. Une personne fondée de procuration. Dans ce sens on dit aussi substantivement, Un fondé de procuration.

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FONDÉ signifie adjectivement, Juste, légitime, raisonnable. Sa demande me paraît fondée, est fondée. Vos reproches sont bien fondés. Ce sont des craintes mal fondées. L'espoir le mieux fondé.

FONDÉ, ÉE. participe Une morale fondée sur l'intérêt personnel. Un attachement fondé sur l'estime. Une personne fondée de procuration. On dit aussi, substantivement: Un fondé de procuration. Un fondé de pouvoir.

Fig., Un édifice fondé sur le sable, se dit d'Un édifice qui ne paraît pas devoir durer longtemps. On le dit, plus figurément encore, d'Un système spécieux, mais qui n'a rien de solide, d'un projet dont rien ne garantit l'exécution, etc.

Être fondé à croire, à dire, à faire, etc., quelque chose, Avoir de justes raisons, de justes motifs de croire, de dire, etc., quelque chose. N'étais-je pas fondé à croire que vous vouliez nous quitter?